Le Symposium Mine Guinée tenu en novembre 2022 à Conakry a été une occasion pour beaucoup d’acteurs des secteurs de développement de se retrouver et de déceler certains aspects de leur domaine d’intervention. C’est le cas du responsable d’un cabinet d’étude environnemental qui suite à certaines remarques a briser le silence pour interpeller et plaider pour le respect du contenu local. Raphael Golota Lamah directeur des opérations du cabinet d’étude « Envirocom » souhaite la valorisation des entreprises locales et le recrutement des expatriés guinéens pour la promotion de la mains d’œuvres locales et des guinéens de l’étranger partout où besoin se présente.
« Nous demandons le respect du contenu local dans toute son intégralité, nous sommes guinéens, notre cabinet est en Guinée et porté par une guinéenne, Dr Jeannette Sivili Onivogui. Ce qui fait que les entreprises minières ou est les promoteurs des projets de développement qui sont là doivent mettre un accent sur les cabinets d’étude guinéen qui ont la capacité de le faire. Parce que les cabinet étrangers qu’on recrute, travaillent souvent avec les cabinet guinéens qui font les 90% des travaux.
Alors pourquoi ne pas donner la chance aux cabinets guinéens de la faire. Et évidemment, s’il y a des compétences qu’on recherche qui ne se retrouvent pas en Guinée, on peut chercher des guinéens d’ailleurs. C’est à issue qu’on peut trouver d’autres expatriés.
Je trouve mieux qu’il y est un gros lobbies, c’est une doléance ou un plaidoyer que je fais à ce que le contenu local soit respecté dans la chaine minières. Cela montre à suffisance que l’on est dans le respect de la vision de l’État mais aussi nous avons des potentialité dans ce pays qui connaissent mieux et qui peuvent mieux faire ce travail de sur le contenu local. »
Boèboè Béavogui